Docteur Joëlle Tubiana, nutritionniste endocrinologue
On sait depuis longtemps que l’obésité (comme la maigreur) représente un frein à la fertilité. On connaît le rôle de l’IMC (Indice de masse Corporel) sur les troubles de l’ovulation.
Ainsi que le rôle de l’insulino résistance (elle-même aggravée par le surpoids) sur l’axe Hypothalamo – hypophyso – ovarien.
Cette étude, réalisée sur une importante cohorte, a permis de mettre en place 10 mesures qui améliorent chacune “les chances ” de procréer et qui lorsqu’elles sont combinées ont un effet surprenant sur l’infertilité due aux troubles de l’ovulation.