LES FICHES SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE :
L’accompagnement psychologique lors d’une stimulation ovarienne
Comment ça fonctionne ?
L’air que l’on respire est censé purifier le corps de chacun et ramener les bonnes vitamines à l’organisme. Bon pour la santé physique et psychique, il faut prendre l’air.
Mais, ce phénomène se produit uniquement quand l’air est pur.
Une étude a souligné des traces suspectes lors de l’analyse de la qualité de l’air. La présence de pesticides a été détectée par l’ONG Générations Futures.
Au total, ils ont trouvé 52 substances :
– 27,55% sont des pesticides classés dangereux pour la santé
– 56,33% représentent des perturbateurs endocriniens du quotidien
Qu’est-ce la stimulation ovarienne ?
La stimulation ovarienne est une solution proposée afin de permettre aux femmes d’ovuler. En effet, ce traitement aide environ 3 femmes sur 10 à tomber enceinte.
Plusieurs types de stimulation existent :
– La stimulation ovarienne simple : elle se fait à l’aide de comprimés
– Les injections sous-cutanées de Gonalf, Pluregon, Menopur ou encore de Fostimon
Pour aller plus loin, pour toutes les femmes qui n’ovulent pas, les injections de LHRH sont adaptées.
Cependant, cette stimulation ovarienne nécessite un suivi médical précis. Les dosages hormonaux doivent être vérifiés régulièrement. Des échographies sont également programmées pour assurer le bon déroulement de cette stimulation ovarienne.
Quand faut-il considérer la stimulation ovarienne ?
La stimulation ovarienne est à considérer chez les femmes :
– Ayant des problèmes d’ovulation
– Présentant des cycles irréguliers
– Une absence totale d’ovulation
Face à cette situation, il faut absolument avoir un suivi personnalisé.
La durée de ce traitement varie en fonction de la situation. La stimulation ovarienne peut durer un cycle ou 6 mois, voire un an.
Cependant, la durée moyenne observée est de 3 mois.
Comment se déroule une stimulation ovarienne ?
Cette approche se fait en plusieurs étapes.
La femme doit tout d’abord procéder à des tests :
– un examen clinique
– des prises de sang pour doser les hormones comme LH, FSH et œstradiol
– Une échographie pelvienne
Le médecin va également vous demander de réaliser une courbe de température pendant 2 à 3 mois. Celle-ci permet de déterminer avec précision la période d’ovulation.
À la suite de ces examens, le professionnel est apte à prescrire un traitement à base d’hormones afin de stimuler l’ovulation.
Si la voie orale n’est pas concluante, il est possible d’avoir un traitement par injection.
En cas d’échec, certaines femmes se voient installer une pompe à LRH à porter jusqu’à ce qu’elles tombent enceinte. Son rôle est de délivrer en continu de la gonadoréline.
Pourquoi le suivi psychologique est-il fondamental dans cette phase de stimulation ovarienne ?
Dans ce processus de stimulation ovarienne, les couples peuvent avoir des difficultés à faire face aux montages russes des émotions.
Avoir un suivi psychologique est bénéfique pour accepter la situation. Il ne faut pas rejeter la faute sur un conjoint. Ici, il faut rester souder.
Un soutien psychologique permet également d’épauler la femme dans tous ses examens médicaux qui peuvent générer du stress et des incertitudes. Faciliter la communication dans le cadre d’une stimulation ovarienne aide les personnes qui souhaitent devenir parents.
Pour affronter les difficultés psychologiques de cette approche, les couples ont la possibilité de faire appel à un soutien psychologique. Libérer le stress et la parole est fondamental pour conserver une bonne communication au sein de votre couple et mettre toutes les chances de votre côté pour tomber enceinte.
Cela est possible à condition de vivre cette expérience sereinement.